Michael Jackson assassiné
photo de la police dans le cadre d'une affaire de pédophilie (début des années 2000)
Comme avec la mort de D. Spencer ou de Jean-Paul II, le système médiatique s'emballe au sujet du décès de M. Jackson. Logique car le personnage n'avait jamais été qu'une bête de scène peut-être talenteux dans son domaine mais surtout follement enrichi par le capitalisme américain, qui, au détour des années 80 s'est mondialisé. Un héros qui ne revendiquait rien.
il restait une icône très pratique
Certes sa fortune avait fondu (on parle de 500 millions de dollars de dettes) mais il restait une icône très pratique. Pratique car s'il a universalisé la musique "noire" américaine, il a aussi toujours été non revendicatif. Même l'agression de l'Irak l'a laissé muet. Avant cela Reagan ou Bush n'avaiant jamais soulevé en lui de répulsion, grâce à la politique économique suivie par ces présidents M. Jackson et ses équipes ont bâti des fortunes sur le dos de millions de "fans".
Un malade mental léger
De plus, rappelons qu'il avait été plus que soupçonné d'actes pédophiles sur plusieurs jeunes enfants. Un "problème" qui le rangeait en réalité du côté des malades mentaux légers. Son quotidien et ses relations humaines transpiraient la névrose et, son décès est sans doute à classer du côté des surdoses médicamenteuses comme Norma Jeane Mortenson (Marylin Monroe) avec qui il a en commun une enfance triste et surtout une confusion entre la "star" inoxidable et l'individu souffrant. Tous deux sont morts de cette célébrité qui mène à la complète solitude et aux obcessions mortifères.
Il a été assassiné par le système
Cette vedette mondialisé sur le déclin et dévoré par sa part d'ombre a donc été assassiné par le système économico-médiatique qui m'avait porté au pinacle. Pour continuer d'être une "star" (et peut-être pour payer ses dettes) M. Jackson a voulu revenir avec des concerts géants, d'où un dopage médicamenteux qui lui aura été fatal.